ETATS-UNIS - DE LA PERSPECTIVE D’UNE GUERRE CONTRE L’IRAN AU « GRAIN DE SABLE »…
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Plusieurs déclarations et mesures militaires indiquent qu’une attaque se prépare, peut-être à brève échéance. Nos sources sont essentiellement des experts militaires de haut niveau à Washington ainsi que certains éléments des forces armées et du renseignement. Des politiciens américains avancent même que les « néo-con » seraient capables de s’en prendre à l’Iran sans « crier gare », sans en parler au Congrès ni aux alliés des Etats-Unis.
C’est pourquoi l’ancien chef de la National Security Agency, le général William Odom (cr), a rappelé qu’il appartient au Congrès d’intervenir pour empêcher l’administration Bush de partir en guerre contre l’Iran. En réponse à un député qui demandait ce que l’on pouvait faire contre les plans de l’administration Bush, Odom a répondu sans hésiter : « Eh bien, la Constitution confère au Congrès le droit de destitution ». Il a également affirmé que si la guerre en Irak risque de s’avérer la plus grave erreur stratégique de toute l’histoire américaine, une guerre en Iran serait un désastre bien pire.
Les analystes russes du renseignement ont rendu compte d’un curieux rituel religieux pratiqué par des militaires américains, dont quelques chefs du haut commandement de Washington, dans une zone de guerre fermée de la ville de Babylone en Irak. Des photos satellites prises par les Russes montrent des régions entourant Babylone.
TABLE DES MATIÈRES
- Après le Liban… préparer l’acte II
- Afghanistan : préparation feutrée d’une guerre contre l’Iran impliquant l’OTAN
- Préparatifs en vue d’une attaque de l’Iran
- Le pacte des élites straussiennes avec les forces occultes
- La Providence fait capoter le plan des suppôts du Diable
- ANALYSE DE CET ÉVÉNEMENT MAJEUR
- L’OPTION ISRAÉLIENNE
Format A5 – 56 pages
Plusieurs déclarations et mesures militaires indiquent qu’une attaque se prépare, peut-être à brève échéance. Nos sources sont essentiellement des experts militaires de haut niveau à Washington ainsi que certains éléments des forces armées et du renseignement. Des politiciens américains avancent même que les « néo-con » seraient capables de s’en prendre à l’Iran sans « crier gare », sans en parler au Congrès ni aux alliés des Etats-Unis.